Au moment où le système bancaire mondial semblait en crise majeure, les dirigeants de la planète disaient, tous la main sur le cœur, le système doit changer. Nicolas Sarkozy prônait la moralisation du capitalisme.. On voit ce qu’il en est aujourd’hui.
Les agences de notations étaient mises sous la sellette et aujourd’hui, les voilà à nouveau présentées comme les grands censeurs, les grands augures capables de dire le bien et le mal !!!
On voit leur clairvoyance : BP qui pollue est bien noté, les pays qui ont aidé les banques et font ivre l’économie réelle sont sanctionné. Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Coté BP, les profits, selon cette agence, ne seraient pas menacés car un fond d’assurance constitué par les grandes compagnies prendrait en charge les dépenses consécutives à la pollution ! Nulles assurances pour les pays. Et pourtant, on aurait pu attendre que l’Union Européenne réagisse, dés le début de l’affaire de la dette grecque et de la spéculation, soit en garantissant la dette et se portant garant de son remboursement, soit en constituant un fond de solidarité, voir par emprunt !
On voit aussi l’importance de renationaliser, totalement ou partiellement, un large part des banques, afin de pouvoir les amener à prêter à des taux raisonnables pour financer l’économie réelle et les pays.
Il est temps de mettre un terme à l’action nocive des agences de notation et de développer des agences publiques de notation, au moins au niveau européen !
Les agences de notations étaient mises sous la sellette et aujourd’hui, les voilà à nouveau présentées comme les grands censeurs, les grands augures capables de dire le bien et le mal !!!
On voit leur clairvoyance : BP qui pollue est bien noté, les pays qui ont aidé les banques et font ivre l’économie réelle sont sanctionné. Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Coté BP, les profits, selon cette agence, ne seraient pas menacés car un fond d’assurance constitué par les grandes compagnies prendrait en charge les dépenses consécutives à la pollution ! Nulles assurances pour les pays. Et pourtant, on aurait pu attendre que l’Union Européenne réagisse, dés le début de l’affaire de la dette grecque et de la spéculation, soit en garantissant la dette et se portant garant de son remboursement, soit en constituant un fond de solidarité, voir par emprunt !
On voit aussi l’importance de renationaliser, totalement ou partiellement, un large part des banques, afin de pouvoir les amener à prêter à des taux raisonnables pour financer l’économie réelle et les pays.
Il est temps de mettre un terme à l’action nocive des agences de notation et de développer des agences publiques de notation, au moins au niveau européen !